Dans la salle des pas perdus de la Gare SNCB de Namur…
Patrick Jonniaux explique, pour la Web Radio de Tout Autre Chose, cette nouvelle action de Tout Autre Chose Namur.
D’autres infos sur cette action… Article de la locale
Tout Autre Chose, avec Hart Boven Hard, a décidé de sensibiliser de manière créative sur le dossier de la mobilité : en distribuant ce 7 mars 2016 dans diverses gares du pays un faux journal « Metro ».
Le thème de la mobilité y est largement abordé de manière décalée.
L’objectif : montrer aux navetteurs qu’une autre mobilité est possible et que l’État doit cesser une politique de désinvestissement dictée par des impératifs budgétaires !
Le Faux journal Métro a été empêché de distribution par la société qui possède le journal Métro via une requête unilatérale en justice le 9 mars.
Et bien, une semaine plus tard, nous vous l’annonçons : LA JUSTICE EST GALANTE ! Elle nous donne raison : il n’y avait ni urgence ni absolue nécessité à empêcher sa diffusion. Nous pouvons donc vous le remettre en ligne : YOUPIE vive la liberté d’expression !
Il est disponible là : Faux Metro. Pour ceux qui aiment la littérature juridique, voici le jugement… Et le second Faux Metro en pdf..
Tout Autre Chose revendique des transports en commun de qualité. Ce qu’il se passe actuellement à la SNCB est inacceptable. Alors que nos dirigeants ont signé l’accord de Paris pour une politique climatique ambitieuse, ils décident en même temps de couper 2,1 milliards d’€ à la SNCB. En tant que mouvement citoyen, il nous paraît essentiel de revendiquer des trains nombreux, à l’heure, accessibles à tous et de qualité. De manière plus générale, il est temps que le monde politique considère la mobilité dans son ensemble pour que les investissements adéquats y soient réalisés.
Tout Autre Chose, avec Hart Boven Hard, a donc décidé de sensibiliser de manière créative sur le dossier de la mobilité : en distribuant ce 7 mars dans diverses gares du pays un faux journal « Metro ». Le thème de la mobilité y est largement abordé de manière décalée. L’objectif : montrer aux navetteurs qu’une autre mobilité est possible et que l’Etat doit cesser une politique de désinvestissement dictée par des impératifs budgétaires !
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Ce samedi 2 janvier, la locale de Namur s’est mobilisée pour informer le citoyen des actions de grève qui touchent la SNCB et donc les citoyens…
Fort d’une dizaine de personnes, un groupe action a pris place au milieu du marché entre la rue de Fer et la rue de l’Ange…
Distribution de tracts, discussions, présence de La Première et pour la première fois de la Web Radio de Tout Autre Chose. Accueil favorable de la population. Ce fut une bonne matinée action donc.
Il est probable que nous recommencerons l’expérience de présence au marché avec d’autres thématiques…
Un rendez-vous pour les namurois avec les alternatives.
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Vous désirez savoir pourquoi Tout Autre Chose soutient les actions syndicales sur le rail ?
Vous vous demandez ce que nous proposons comme solutions ?
Vous avez envie de montrer que les restrictions imposées à la SNCB vous touchent dans votre mobilité ? dans votre quotidien ?
Consultez notre dossier spécial pour une SNCB forte, accessible et de qualité.
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Interview de Patrick Jonniaux par Hugues Van Peel sur la Première le 2 janvier 2016
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En janvier, de nombreux citoyens se sont montrés solidaires des cheminots et ont voulu exprimé leur raz-le-bol concernant les problèmes qui touchent la SNCB. Nous nous sommes notamment rassemblés à Liège, à Namur, à Ottignies, à Braine-le-Comte et à Bruxelles pour revendiquer des trains nombreux, à l’heure, de qualité et accessibles à tous..
Nous organisons un deuxième round d’actions en février / mars. Nous vous donnons rendez-vous :
Tout Autre Chose revendique des transports en commun de qualité. Ce qu’il se passe actuellement à la SNCB est inacceptable. Alors que nos dirigeants ont signé l’accord de Paris pour une politique climatique ambitieuse, ils décident en même temps de couper 2,1 milliards d’€ à la SNCB. En tant que mouvement citoyen, il nous paraît essentiel de revendiquer des trains nombreux, à l’heure, accessibles à tous et de qualité.
En collaboration avec d’autres organisations, une déclaration commune a été rédigée, n’hésitez pas à la rejoindre.
De nombreuses actions ont été réalisées et vont avoir lieu, contactez-nous pour nous rejoindre !
Tout Autre Chose, Hard Boven Hart, la Fédération des Etudiants Francophones, le Climate Express, Alternatiba-Bruxelles, le réseau ADES, la ligue des familles, le Comité des élèves francophones, le MOC-Bruxelles, Inter-Environnement Bruxelles, le Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, Nucléaire Stop Kernenergie, le théâtre Croquemitaine, No-limit-event, le collectif Sentiers de la Haute Haine, Lessive solidaire, Le Moteur des Cent Sans, la Formation Léon Lesoil, le collectif Présences Noires, la Centrale générale FGTB, Ecolo-J, Paysans-artisans SCRL FS, L’/élément/’terre, le journal POUR, ATTAC Liège, Vivre Ensemble asbl, Comac, la CSC-enseignement, Médecine pour le Peule, l’Appel pour une Ecole Démocratique (APED/OVDS), les Equipes Populaires, la Centrale Nationale des Employés, CSC-ACV Bruxelles-Hal-Vilvoorde, Alternatiba Louvain-la-Neuve, Rencontre des Continents, Companie Art & tça, ZIN TV, Les Compagnons de la Transition, FIAN Belgium, Changements pour l’Egalité, ATTAC BXL, GGSP wallonne, Collectif oser, CNAPD, Réseau IDée asbl, BRAL, European Railway Agency, USO, FGTB-Bruxelles, ZIN TV, Fédération des Résistances, Comité CSC Bruxelles, LEF/FGE, Maison de l’écologie, Coin du Balai en transition, Fédération Internationale de la Diaspora Afar (FIDA), Mouvement politique des objecteurs de croissance, Union nationale des services publics, Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde, Kairos Europe, PROJET LAMA, Fédération des associations sociales de santé, RTA, Pro-jeuneS, Réseau justice fiscale, syndicat des locataires, le magazine Imagine, Zorobabel, Skatoria, Climaxi vzw, Agir pour la Paix, Cresl, ACRF – Femmes en milieu rural, Centre de culture européenne, Comité de Vigilance en Travail Social, Syndicat Indépendant pour Cheminots, Fédération des Résistances, Maison Médicale Couleurs Santé, ATTAC Charleroi et le festival Arc-en-musique appellent toutes les organisations de la société civile à signer cette déclaration, et à tous les citoyens à se bouger avec nous pour une SNCB forte, accessible et de qualité.
Toutes les organisations qui veulent également signer cette déclaration commune peuvent remplir le formulaire ci-dessous.
Alors qu’à la COP 21, les dirigeants du monde entier se sont positionnés pour mettre un frein au réchauffement climatique, le gouvernement belge fait tout pour rester mauvais élève.
Celui-ci fait fausse route sur sa politique de mobilité et particulièrement dans le dossier SNCB. Un exemple : chaque matin, il y a en moyenne 140km de bouchons sur nos routes. La Belgique est un des pays les plus embouteillés au monde, avec tout le stress pour les travailleurs, les conséquences économiques négatives pour les entreprises et les émissions de CO2 que cela peut engendrer. Chacun sait que des transports publics de meilleure qualité sont indispensables pour apporter une solution à ce problème. Cependant, le gouvernement belge poursuit sa politique de l’immobilité : il désinvestit massivement dans les transports publics, tout en continuant à subsidier les voitures de société à plus de quatre milliards d’euros par an.
Notre pays s’illustre tristement avec ses chemins de fers : les investissements pour la sécurité se font après que des accidents graves surviennent, les temps de parcours des trains sont allongés pour masquer les retards structurels, l’offre en transport diminue alors que les besoins en mobilité durable sont grandissants. Alors que la SNCB transporte sans cesse plus de passagers avec sans cesse moins de personnel, le gouvernement réduit les moyens de 3 milliards. Quel patron désinvestisserait d’une entreprise dont le chiffre d’affaire augmente depuis 10 ans et dont l’avenir est garanti vu les efforts à faire pour le climat ? Aucun. Le gouvernement belge par contre ne se prive pas.
D’autres manières de faire sont possibles. Réorientons les subsides aux voitures de sociétés vers les transports en commun, et les embouteillages disparaitront. Un seul quart de ces subsides pourrait refinancer la SNCB et y doper considérablement la qualité et les fréquences. Un autre quart pourrait même la rendre gratuite pour tous les usagers. La situation actuelle n’est donc pas une fatalité, et la baisse de qualité qui se poursuivra jusqu’à la privatisation du rail est un horizon qu’il faut refuser.
Si le désinvestissement dans les transports publics pénalise les usagers, il est également payé par les employés de la SNCB. Nous comprenons que les membres du personnel s’opposent aux projets de déconstruction du rail, puisqu’ils demandent, comme nous, des transports publics forts, accessibles et de qualité. Il n’est donc pas acceptable que les employés soient descendus dans la presse et que le gouvernement se saisisse du désaccord entre partenaires sociaux pour s’attaquer aux syndicats.
En tant qu’organisations de la société civile, nous avons à cœur la justice sociale et la préservation du climat. Nous sommes ces usagers du rail, navetteurs, étudiants, voyageurs, - mais aussi automobilistes contraints en recherche d’une alternative - qui rêvent que le gouvernement choisisse d’assumer qu’il est à la tête d’un service public et qu’il doit y investir pour qu’il soit accessible, exemplaire, sûr, de qualité et au service de tous. Nous sommes également aux côtés de ces travailleurs qui depuis des années doivent faire mieux avec moins et à qui on demande demain de faire encore mieux avec beaucoup moins. Pourtant, à voir l’état de la SNCB, il est clair que cela n’amènera que stress, retards et baisse de qualité. Et ce ne sont pas les travailleurs qui doivent être jugés mais bien les responsables du piteux tableau actuel. Nous voulons un tout autre projet pour la SNCB et ce n’est qu’ensemble que nous pourrons le porter avec succès.
En janvier, de nombreux citoyens se sont montrés solidaires des cheminots et ont voulu exprimé leur raz-le-bol concernant les problèmes qui touchent la SNCB.
Nous nous sommes notamment rassemblés à Liège, à Namur, à Ottignies, à Braine-le-Comte et à Bruxelles pour revendiquer des trains nombreux, à l’heure, de qualité et accessibles à tous.
Tu es un citoyen et tu veux mener avec nous des actions pour une tout autre SNCB en janvier ? Contacte-nous via notre page Facebook.
Nous organisons des actions en février 2016. Une réunion ouverte à toutes et tous a lieu à Bruxelles le lundi 15 février au soir. Plus d’infos : sur l’événement facebook ici ou via [email protected]
Pour les actions à Braine-le-Comte :
Pour celles à Ottignies :
Pour celles à Bruxelles :
Pour celles à Liège :
En collaboration avec d’autres organisations, une déclaration commune a été rédigée, n’hésitez pas à la rejoindre.
Alors qu’à la COP 21, les dirigeants du monde entier se sont positionnés pour mettre un frein au réchauffement climatique, le gouvernement belge fait tout pour rester mauvais élève.
Celui-ci fait fausse route sur sa politique de mobilité et particulièrement dans le dossier SNCB. Un exemple : chaque matin, il y a en moyenne 140km de bouchons sur nos routes. La Belgique est un des pays les plus embouteillés au monde, avec tout le stress pour les travailleurs, les conséquences économiques négatives pour les entreprises et les émissions de CO2 que cela peut engendrer. Chacun sait que des transports publics de meilleure qualité sont indispensables pour apporter une solution à ce problème. Cependant, le gouvernement belge poursuit sa politique de l’immobilité : il désinvestit massivement dans les transports publics, tout en continuant à subsidier les voitures de société à plus de quatre milliards d’euros par an.
Notre pays s’illustre tristement avec ses chemins de fers : les investissements pour la sécurité se font après que des accidents graves surviennent, les temps de parcours des trains sont allongés pour masquer les retards structurels, l’offre en transport diminue alors que les besoins en mobilité durable sont grandissants. Alors que la SNCB transporte sans cesse plus de passagers avec sans cesse moins de personnel, le gouvernement réduit les moyens de 3 milliards. Quel patron désinvestisserait d’une entreprise dont le chiffre d’affaire augmente depuis 10 ans et dont l’avenir est garanti vu les efforts à faire pour le climat ? Aucun. Le gouvernement belge par contre ne se prive pas.
D’autres manières de faire sont possibles. Réorientons les subsides aux voitures de sociétés vers les transports en commun, et les embouteillages disparaitront. Un seul quart de ces subsides pourrait refinancer la SNCB et y doper considérablement la qualité et les fréquences. Un autre quart pourrait même la rendre gratuite pour tous les usagers. La situation actuelle n’est donc pas une fatalité, et la baisse de qualité qui se poursuivra jusqu’à la privatisation du rail est un horizon qu’il faut refuser.
Si le désinvestissement dans les transports publics pénalise les usagers, il est également payé par les employés de la SNCB. Nous comprenons que les membres du personnel s’opposent aux projets de déconstruction du rail, puisqu’ils demandent, comme nous, des transports publics forts, accessibles et de qualité. Il n’est donc pas acceptable que les employés soient descendus dans la presse et que le gouvernement se saisisse du désaccord entre partenaires sociaux pour s’attaquer aux syndicats.
En tant qu’organisations de la société civile, nous avons à cœur la justice sociale et la préservation du climat. Nous sommes ces usagers du rail, navetteurs, étudiants, voyageurs, – mais aussi automobilistes contraints en recherche d’une alternative – qui rêvent que le gouvernement choisisse d’assumer qu’il est à la tête d’un service public et qu’il doit y investir pour qu’il soit accessible, exemplaire, sûr, de qualité et au service de tous. Nous sommes également aux côtés de ces travailleurs qui depuis des années doivent faire mieux avec moins et à qui on demande demain de faire encore mieux avec beaucoup moins. Pourtant, à voir l’état de la SNCB, il est clair que cela n’amènera que stress, retards et baisse de qualité. Et ce ne sont pas les travailleurs qui doivent être jugés mais bien les responsables du piteux tableau actuel. Nous voulons un tout autre projet pour la SNCB et ce n’est qu’ensemble que nous pourrons le porter avec succès.
Tout Autre Chose, Hard Boven Hart, la Fédération des Etudiants Francophones, le Climate Express, Alternatiba-Bruxelles, le réseau ADES, la ligue des familles, le Comité des élèves francophones, le MOC-Bruxelles, Inter-Environnement Bruxelles, le Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, Nucléaire Stop Kernenergie, le théâtre Croquemitaine, No-limit-event, le collectif Sentiers de la Haute Haine, Lessive solidaire, Le Moteur des Cent Sans, la Formation Léon Lesoil, le collectif Présences Noires, la Centrale générale FGTB, Ecolo-J, Paysans-artisans SCRL FS, L’/élément/’terre, le journal POUR, ATTAC Liège, Vivre Ensemble asbl, Comac, la CSC-enseignement, Médecine pour le Peule, l’Appel pour une Ecole Démocratique (APED/OVDS), les Equipes Populaires, la Centrale Nationale des Employés, CSC-ACV Bruxelles-Hal-Vilvoorde, Alternatiba Louvain-la-Neuve, Rencontre des Continents, Companie Art & tça, ZIN TV, Les Compagnons de la Transition, FIAN Belgium, Changements pour l’Egalité, ATTAC BXL, GGSP wallonne, Collectif oser, CNAPD, Réseau IDée asbl, BRAL, European Railway Agency, USO, FGTB-Bruxelles, ZIN TV, Fédération des Résistances, Comité CSC Bruxelles, LEF/FGE, Maison de l’écologie, Coin du Balai en transition, Fédération Internationale de la Diaspora Afar (FIDA), Mouvement politique des objecteurs de croissance, Union nationale des services publics, Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde, Kairos Europe, PROJET LAMA, Fédération des associations sociales de santé, RTA, Pro-jeuneS, Réseau justice fiscale, syndicat des locataires, le magazine Imagine, Zorobabel, Skatoria, Climaxi vzw, Agir pour la Paix, Cresl, ACRF – Femmes en milieu rural, Centre de culture européenne, Comité de Vigilance en Travail Social, Syndicat Indépendant pour Cheminots, Fédération des Résistances, Maison Médicale Couleurs Santé, ATTAC Charleroi et le festival Arc-en-musique appellent toutes les organisations de la société civile à signer cette déclaration, et à tous les citoyens à se bouger avec nous pour une SNCB forte, accessible et de qualité.